Mardi 3 octobre 2 03 /10 /Oct 11:44

 

Pendant que ce vieux sagouin de Solomon se tapait gaiement un "cinq contre un " dans les toilettes du motel, Dick reflechissait.Enfin... Il essayait, sans sa poudre de perlimpimpin c'etait pas facile...

Premierement,qu est ce que cette grognasse pouvait bien branler avec les Saragnistes? A part leurs gros membres turgescents?

Ces mecs sont completement cintrés,vraiment a la masse.Leur mouvement fut créé par Jack Saragna, peu avant les attentats sur la capitale, une espece de libre penseur désireux de devenir le Maître du Monde, accro au LSD et autres substances hautement psychotogènes...Convaincus d' etre dotés de super pouvoirs et équipés de super gros flingues, ca les rendait super dangereux et difficilement controlables,toutes discussions etait impossible avec ces foux furieux.On avait deja vu des Saragnistes se concentrer tellement fort dans l' espoir de liberer leurs "pouvoirs", qu' ils se faisaient eclater les vaisseaux sanguins du nez, et asperger leurs victimes dans un geyser de sang, ces dernieres, prises de panique ne pensaient plus qu' a se tirer de là vite fait, completement degoutées. D' autres se sont jeter nus comme des vers, persuadés d' etre insensibles aux balles, sur des flics venus enqueter sur leur groupuscule, curieusement, aucun d' entre eux ne fut touchés malgrés le tir nourri des condés qui se prirent une belle branlée, ce qui contribuat au mythe de leur invincibilité...Ca n' allait pas etre simple de se friter avec ces gars là...

Deuxiemement,où se cachait cette morue, pourquoi l' avait elle entrainé dans cette histoire puante ? Et surtout, d' où lui venait cette obsession de glisser des objets dans le rectum des mecs qu elle côtoyait?

Un râle de volupté retentit des chiottes, Solomon avait enfin terminé de se dégorger le poireau, Ils allaient pouvoir se mettre en route...

-T' as fini tes saloperies vieux dégueulasse ?? Hurlat Dick en direction de la porte des gogues.

-Hein ? Quoi ? Ho ...Ouais , j ai fini, j' me lave les pognes et j suis a toi dans deux minutes...Heu ? par hazard ? t' aurais pas un peu de déo ? Je sens un peu l' echalotte...Huhuhu...On commence par quoi mon vieux ?

-J' pense qu' on va faire un tour du coté de Mars in hell, essayer de trouver Le Vautour, lui doit savoir pas mal de choses, par la même occasion j' en profiterai pour me refaire mon stock d' amphé, la j' tourne a vide et j' aime pas ca... Et putain prend une douche, c' est pas le déo qui arrivera a masquer ta puanteur !!

-Hmmm, si on va dans ce coin là, j' aimerais pas y aller a poil, on passeras par ma planque, il est temps de sortir la grosse artillerie, ca fait trop longtemps que j' ai pas jouer au cow boy...

-Ok, ok! mais par pitié, laves toi, tu vas finir par me rendre malade...

Le Vautour, son surnom lui venait de son tarin monumental, de sa tete de piaf et de son corps malingre éternellement vouté. Prototype parfait du fils de pute, toujours au courant de tout, une vraie concierge, il balançait tout le monde à n' importe qui à propos de n' importe quoi. Cet étron humain vivait dans  un vieux cabanon pourri, pas loin du cimetierre, où dit-on, il déterrait les nouveaux arrivant, desquels il prelevait de grandes tranches afin de se fournir en viande pour lui et son vieux chien, une berger allemand pouilleuse perpétuellement en rut. On racontait qu' il entretenait une relation particulière avec son animal, genre mari et femme, ce qui se confirmait quand le clebs agitait la queue et qu' on voyait le gouffre béant et malpropre qui lui servait de trou du cul.

-Bordel !! Tu te bouges le cul ouais ?!?

-Ok, ok...T'emballes pas mon frère, Fais comme Monkey man, sois cool...Prends s' qui vient...Moi j prend ma douche...Huhuhu...Allez, fait chauffer la bagnole...J' arrive dans deux minutes...

Le V8 de la Dodge Charger tournait au ralenti, tandis que l' esprit de Dick, lui, tournait a du mille a l' heure...

Ce sale type de Babinsky. 

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Vendredi 18 août 5 18 /08 /Août 16:35

 

 

 

 

Solomon était, selon ses dires, arrivé chez Béatrice à sa demande, prétextant que Dick en pure colère était en train de tout foutre en l'air dans la boutique..

En arrivant sur le péron, effectivement des cris fusaient, Solomon entra et à pas de loup, marcha dans leur direction. Par l'entrebaillement de la porte sa vision n'était pas complète mais était drôlement explicite. Les cris n'étaient pas ceux du désespoir. La greluche à son pote était encadrée par trois barbouzes qui lui obstruaient chacun des trous. A première vue ça avait l'air marrant, les trois "bouchons" étaient complètement à poil ormis leurs chaussettes et leurs holsters. Elle avait gardé ses talons aiguilles.


Apres un quart d'heure de paluchage furtif, un "clic" significatif, juste derrière l'oreille droite de Solomon se fit entendre .

-On t'attendait pequenaud ! Dis bonsoir à la dame et va t'asseoir !!

Un quatrième zigue surement revenu d'avoir été acheter des clopes le pointait de son feu. Celui là était habillé.

L'étreinte ne s'arreta pas pour autant, tour à tour les méchants se relayaient pour tenir ce mal embarqué de Solomon en joue.


Dans sa tête, les pensées se bousculaient. Béatrice, celle qu'il avait pris pour la fidèle de son pote s'envoyait en l'air avec d'autres et pas avec lui. Des Saragnistes en plus. Il les connaissait pour avoir déjà eu affaire à eux lors d'un collage d'affiche qui avait mal tourné, Solomon et son équipe avaient tout de même eu le dessus, mais ça avait été limite.


Par deux fois il avait tenté de la séduire, mais ses tentatives s'étaient toujours réduites à l'echec. Les manières de Solomon pour "emballer" Béatrice n'avaient pas été ce qu'on peut appeler des manières de gentleman, la première s'était résumée à lui mettre une main au cul, et la seconde à lui filer discrètement le prospectus d'une boite échangiste. Jamais la belle n'avait réagi.

A un moment la donzelle émit autre chose que des "Haaa !!", des "Hiiiiii !!" et autres "Oh oui !! encore !!!".

-Laisse venir à moi ce gros macaque, Sergio, lui aussi à bien droit de me faire reluire un peu non?

-Euh... c'est que... Je sais pas si je peux... Fit le quadrumane.

-Bouge locdu! C'est ça ou un pruneau. Vas pas décevoir la dame. Le balaise lui enfonça son "Glock 9mm" dans les côtes. Désappe toi et avance !!

Solomon se retrouva donc, toujours tenu en joue, en train de butiner la meuf à son pote et là, entre chaque "vas et viens", il allait et venait entre remords et Concupiscence.


Quand la fille fut repue, elle repoussa ses assaillants, elle s'habilla, se servit un drink et le vida d'un trait.

A l'attention de Solomon, elle lança : "Putain d'bordel de merde, ça fait du bien par où ça passe! Bon maintenant à nous deux vieille loque". Elle le tira par l'oreille et le poussa dans un fauteuil. Solomon, déséquilibré tomba la fesse contre l'accoudoir en bois brut, il laissa échapper un petit "Grmff !".

A ce moment précis, il était loin d'imaginer que son fion n'avait pas fini d'en subir.

Le pied appuyé sur sa poitrine elle ajouta : "Maintenant tu vas avaler ça. Sans discuter!"

De là Solomon avait une vue qu'on ne pourrait plus,vu les circonstances, qualifier d'imprenable. Mais malgré les circonstances, il se remit à bander.

Le "clic" significatif du mastar dont je vous parle plus haut se fit une nouvelle fois entendre. Solomon s'exécuta.

-Ce lourdeau est bientôt au pays des songes, fit elle à ses acolytes, faites en ce que vous voulez.

-Voilà toute l'histoire Dick. Tu m'excuseras dit Solomon en se dirigeant vers les gogues, mais cette histoire m'a mis dans tous mes états.. Fit Solomon.


Pendant le récit de Monkey Man, Dick avait sorti son pétard, il n'était pas content.


Ce sale type de Teddy Pire
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Mardi 15 août 2 15 /08 /Août 10:52

Solomon, étirait ses vieux muscles endoloris, l'humidité de cette chambre minable et le manque qui le gagnait, le faisait grelotter.

Sa vue s'habituait a la pénombre de la pièce, a travers les croutes accumulées aux coins de ses paupières, il percevait une forme vague affalée dans le sofa pouilleux.

"Mais bordel ?!? Je suis où moi ??" pensat il , la silouhette floue s adressait a lui dans une langue inconnue, enfin, incompréhensible... "Mais c est quoi ce type ? Qu est ce qu' y dit ? Putain, j entrave quedalle a son babillage...Allez fais un effort , reprend pied...Rassemble le peu d' esprit qu' il te reste...Allez ...Hop hop !! "

La tempète dans son crane se calmait un peu, les sons devenaient plus ou moins cohérents, le regard héberlué qu' il promenait dans ce taudis lui donnait l air d' un beauf a qui on aurait annoncé que sa greluche se serait tirée avec sa caisse tunée, ses Cd de "musique de feu rouge ",  son home cinéma et ses canettes de bières...

- Hey ?? ca va vieux singe ??

- Hein ? Qui t' es toi ? D' ou tu me parles comme ça ?

Il distinguait maintenant les contours du visage hilare planté maintenant a dix centimetres du sien. Ce sourire au dent petées , cette haleine de bouc en rut due a un exces de rhum bon marché, la tignasse hirsute qui n' avait jamais vue un capilliculteur de sa vie..." Et merde... C' est Dick...Bordel, j' suis maudit ou quoi ?? "

- Heuuu...Dick?

- Ouais mon vieux...En chair et en gras...Tu peux m' dire s' que tu foutais chez ma nana ? A poil en plus ... 

- Houla !! C' est une longue histoire mon frère...Une putain de longue histoire et ca pue velu mon frère...Laisse moi le temps de me resaper, de me faire un fix et j 'te raconte tout ca en détail.

- Ouais, t' as interet...! Et si les détails me plaisent pas, j'te jure que j' te pete ta tronche de vieux singe...

 - J' sais pas s' que j' ai...J' ai super mal au cul !

- T' inquietes...T' es pas le seul...

Apres s' etre rhabillé, Solomon se mit a preparer son elixir de jouvence avec les gestes précis d'un hapoticaire , se servant de la bougie parfumée pour chauffer la cuillère. " Au moins, on m' a pas piqué ma dope, c est déja ça..." Le bouillon etait prêt, filtrer, aspirer , la shooteuse entre délicatement dans la veine de son bras...Une goutte de sang se mele a la mixture." C' est bon, j y suis...C' est parti...Hèhè...". La chaleur l' envahit doucement, et Solomon se mit a tout deballer depuis le debut... 

- Cette salope bosse pour les Saragnistes , mon frère...Et ca c' est une mauvaise magie, crois moi...

 

Ce sale type de Babinsky. 

 

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 00:14
 


L'operation "gode, menottes et lumière" dura près d'une demi-heure, le temps de trouver les outils.

Enfin libéré de ses entraves, Dick fit le tour du propriétaire.

Dans le salon, la télé recrachait un différé d' Italie-Ukraine (3-0), allez savoir pourquoi.

Quand il arriva dans la chambre il fut surpris par le contenu des placards, ils etaient vides. Seule une enveloppe trônait sur la droite de la quatrième planche en partant du bas. Dick s'en saisit, l'ouvrit.

A l'intérieur, une phrase : " Un tiens voilà dans ton cul vaut mieux que deux tu l'auras dans ton lit". Cette fois Dick en était convaincu, elle se foutait de sa gueule.

On pouvait dire qu'elle mettait le paquet pour le faire chier.

Maintes fois Dick s'était fait jeter, c'était son lot, il y était habitué, mais ce qu'il ne supportait pas, c'était la manière fourbe et dédaigneuse que Béatrice employait.


Béatrice... Dick l'avait rencontrée un soir de défonce dans une boîte crasseuse du fond de la ville (le « Parisiana », tout un programme..) où, à poil sur une table, cette conne faisait aller son petit cul sur le rythme de "Kiss Kiss" de Tarkan, le sol était poisseux, c'était glauque. Il avait aimé ça.

En panne sèche, elle lui avait fait ses yeux de biche, lui comme un con l'avait abreuvée une bonne partie de la nuit, puis emballée. Depuis c'était la mouise.


Au sortir de la chambre, Dick se dirigea vers la pièce d'où vrombissaient les supporters Italo-Ukrainiens. Posa délicatement son cul de côté dans le premier sofa venu, de manière à ne pas raviver la douleur qu'il avait réussi à calmer grace à « Nurofen, en vente dans toutes les bonnes pharmacies ». D'une poche il sorti son paquet de clopes, de l'autre sa fiole de « Negrita brun», bu et fuma.

De son côté, attiré par la hola des spectateurs italiens, Solomon sortait de son coma.


A l'autre bout de la ville, chez sa putain de mère et plus précisement le cul sur une chaise en vieux skaï vert fendu et aux pieds chromés tout maculés de vieilles merdes opaques, Béatrice, les mains sur la table de la cuisine, comptait son pognon.

 

 

 Ce sale type de Teddy Pire

 

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Vendredi 28 juillet 5 28 /07 /Juil 10:45

La tête lui tournait, et une douleur vive se manifestait dans son rectum...Bon dieu non ?! Pensa-t-il. Elle n'aurait pas osé quand meme ?? La salooope...!

Il se mit à ramper , tant bien que mal , chaque mouvement un peu brusque faisait remuer cette énorme chose profondément coincée entre ses fesses, vers la forme sombre près de l'entrée du bungalow. L'odeur de cette chose, un mélange de merde et d'amphétamines, d'animal en rut et de sueur, le mettait encore plus mal a l'aise, de plus, cette odeur, il la connaissait...

Des souvenirs lui emplirent la tête ... 22 janvier 1986 , L' attaque kamikazes des deux Zeppelins contre la Tour des Finances de la capitale fait 123 000 morts. Cette attaque choque la terre entière , les images font le tour du monde, personne ne comprend. Très vite , ce geste est revendiqué par le " Oufti ! " noyau dur du mouvement Happartiste et visait le quartier général du Colonel Dehaene, ce dernier échappe de peu a l'attentat et se refugie dans sa marina bünkerisée , le long de la côte. Des mesures sont prises par le gouvernement Vland's, riposte immédiate, fermeture des frontières, lois antiterroristes, contrôle des populations, obligation de parler le Vlander's dans les adminstrations et les écoles , renomage de la signalisation routière et des noms de villes Walliforniennes en  Vlander's, construction d'un mur autour de la capitale et des territoires Vland's...La Wallifornie réclame son indépendance, la guerre civile éclate, le chicon au gratin devient " Plat Patriotique "...Dick, qui s'appelle encore Jean-Marie Vanderslakemolen, vient d' avoir 16 ans...

De mère Wallifornienne et de père Vland's, il passe son enfance dans les polders, va à l'ecole du village. C'est pas vraiment la misère, mais c'est pas Noël tout les jours. Papa ne bosse pas, chômage longue durée. Maman fait des ménages chez les bourgeois. Arrivent  les nouvelles lois sur "la pureté sanguine et salubrité sociale", déclarés " Impurs et Inadaptés sociaux", ses parents, lui et quelques millions d'autres chômeurs, immigrés , sans-papiers et SDF sont parqués dans d'immenses camps avant d'être raccompagnés manu militari à la frontière Vlando-Wallifornienne.

De nouveau parqués dans des camps à leur arrivée, sont père meurt rapidement , comme tant d' autres, d'intoxication alimentaire , due à l'eau du canal extrêmement polluées, seul approvisionement en eau de la région, et d'une allergie due au lactose contenu dans la sauce béchamel du "plat patriotique" servi trois fois par jour au Camp d' Accueil n° 763. Sa mère se console en butinant les mecs, très vite, elle se retrouve maquée avec cette grande bringue, Wim, ancien collabo Vland's et alcoolo notoire, Dick se barre...Après avoir erré quelques temps, il rencontre Solomon, lui aussi réfugié et evadé de ce camp de merde, ou les gens ne font que se lamenter sur leurs sorts...Très vite, ils décident de rejoindre les Wallifornian's Boy, groupe de résistants qui allaient bientôt devenir le seul corps d'armée Wallifornien...

C'était Solomon, cette masse sombre et puante devant lui, les larmes lui montaient aux yeux...Et la douleur lui vrillait le fondement...

 

Ce sale Type de Babinsky.

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Jeudi 27 juillet 4 27 /07 /Juil 03:08

En refermant la porte, Dick tendit machinalement la main vers le commutateur qui ne réagit pas.
- Merde, c'est quoi ce bordel se dit Dick à voix basse.
La sueur commençait à perler sur son front et formait un "V" dans son dos, La peur.
Bien que Dick fut très en colère et qu'il eut fait son service dans les corps des marines, tuer une femme n'était pas dans ses habitudes. Surtout si l'arme du crime avait servi dans le même corps, pas celui des marines..

Aucune lumière ne sointait dans cette turne, Dick mit un certain temps à s'habituer à l'obscurité.
Il se dirigea à tatons, vers ce qui lui semblait être la porte de la cuisine, arrivé à mi chemin, il butta sur une masse dure et molle à la fois. Dick essaya tant bien que mal de se rattraper à un éventuel meuble, c'est sa tempe qui alla cogner sur le coin d'un bureau "Louis-Philippe".
Quand Dick se réveilla, il baignait dans le sang, n'avait plus son pantalon  et ses poignets étaient menotés..

 

 

 

Ce sale type de Teddy Pire.

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Jeudi 27 juillet 4 27 /07 /Juil 01:50

                                                                  

Cette sale pute allait morfler !!! Elle le jetait, LUI !!!

Non mais ...PUTAIN DE MERDE !!!! POUR QUI ELLE SE PREND CETTE CONNASSE ?? Hurlait il en donnant de grand coup de lattes dans la portière de la bagnole garée a coté de la sienne, une merde anglaise, couleur caca d'oie.

Et voila t' y pas qu'elle se la joue romantique en plus...Mais pour qui ??

 M'en vais lui coller ses bougies dans le cul...SALOPE...!!!

 Il lui avait présenté Solomon,The Man Monkey , un petit black. Sympa le gars,bien sapé, une paire de rouflaquette a faire frémir un amiral allemand de la première guerre mondiale. Il disait tout le temps " Fais comme Monkey Man ! Man...Prends ce qui vient , et laisses le reste ..."

N'empèche, ca sent pas bon c't'histoire...Même avec ces conneries de bougies parfumées a la fenêtre...

 

Ce Sale Type de Babinsky .

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Jeudi 27 juillet 4 27 /07 /Juil 01:31

 

 

Quand Dick parqua la voiture en face du bungalow, il sut que sa soirée serait teintée d'un drôle de gout de carnaval : la fille avait fermé tous les rideaux et juste la flamme d'une bougie vascillait dans l'obscurité. Son gode à la main, Dick traversa la petite cour et entra...

Ce sale type de Teddy Pire

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